Une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Copenhague sur une cinquantaine d’individus révèle que les voyants et les non-voyants tardifs (suite à une maladie, un accident…) font moins de cauchemars que les non-voyants de naissance.
En effet, environ 6% des rêves des premiers seraient constitués de cauchemars alors que 25 % de ceux des seconds seraient mauvais, soit plus que quatre fois la moyenne des premiers.
Leur handicap visuel serait en effet derrière ce taux élevé de mauvais rêves puisqu’ils ont tendance à ressentir une certaine frustration, angoisse ou encore impuissance face à des phénomènes, situations et environnements inconnus, étant donné qu’ils ont toujours vécu dans le noir.